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Absalom

❝ BANGARANG ❞

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FT. JOHNNY DEPP ∞ THE DEVIL YOU KNOW
CRÉDITS ; @tumblr

⊱ PSEUDONYME : Absalom. ⊱ IDENTITÉ HUMAINE : Edward Lockhart ⊱ ÂGE : Trente-six ans en apparence, en réalité toutefois, on dénombre des centaines et des centaines d'années en plus. ⊱ RANG/RACE : Démon ⊱ EMPLOI : Prétendument photographe ⊱ OCCUPATIONS : Détruire l'existence de jeunes femmes naïvement innocente qui se persuadent qu'il est un homme bien. ⊱ TRAITS DE CARACTÈRE : Patient ; malin ; minutieux ; réfléchi ; sadique ; excessif ; sournois ; revanchard ; orgueilleux ; indépendant ; joueur ; use d'un respect factice ; cynique ; borné ; manipulateur. ⊱ SES FORCES : La plus grande force d'Absalom est sans nul doute sa patience sans limite, il peut passer des années à côtoyer la même proie uniquement pour se délecter de la torture psychologique qu'il lui fait subir. Excellent acteur, il est aisé pour lui de prétendre être quelqu'un qu'il n'est pas et il module généralement son existence dans le seul but d'atteindre plus facilement sa proie, ainsi, il devient avocat, serveur, marié ou veuf pour le simple plaisir de ces dames, jusqu'à pouvoir les détruire. ⊱ SES FAIBLESSES : Son besoin irrépressible de détruire lentement ses proies son bien souvent une grande faiblesse, ainsi, il doit faire preuve d'une grande ruse pour ne pas qu'on le repère et qu'on mette un terme à son plan, car évidemment, il ne change pas de proie tant qu'il n'a pas anéantit celle(s) qu'il avait en tête, qu'importe s'il doit mettre dix ans pour le faire. Son penchant pour la torture psychologique se révèle, là aussi, une faiblesse notable, car évidemment, il faut plus de temps mais également plus de risque pour détruire quelqu'un sans en faire couler le sang. Bien souvent il a risquer sa couverture d'homme bienséant pour réussir.

~ Malgré son état de démon qui perdure depuis des siècles déjà, il éprouve une étrange fascination pour ce que sont devenus les Hommes à cette époque. Leur évolution l'intrigue tout autant qu'elle l'irrite. Il a du mal à croire que les choses aient pu évoluer aussi rapidement.
~ Absalom est un gros fumeur, en vérité, cela ne lui apporte pas tellement de faire cela, pourtant, une fois qu'il a prit possession de l'hôte, il a s'y est mit tout naturellement en découvrant le paquet sur une table de chevet.
~ Les hommes, au fil des siècles, se sont castré au fil des années, il ne porte considération à aucun d'eux et ne prend même pas la peine de les torturer psychologiquement, il les tue sans vergogne, jugeant que son jeu habituel n'aurait pas l'effet escompté sur eux.
~ Persuadé d'évoluer dans un monde dont l'utilisation de la technologie sera éphémère, Absalom touche rarement aux ordinateurs et autres objets aussi futiles du genre, pour lui, c'est bien trop insignifiant pour s'y attarder.
~ Depuis qu'il est revenu sur terre dans le corps de son hôte, Absalom a eut l'occasion de torturer plusieurs femmes. Toutefois, il est arrivé une fois, une seule, ou la dites proie s'est enfuie, lui échappant. Il garde cette échec en tête, se jurant de remédier à cela un jour ou l'autre. Peu importe le temps que cela prendra.
~ S'il possède un self-control incroyable pour un démon (mais s'énerve toutefois assez facilement malgré tout), c'est simplement parce que son besoin de torturer psychologiquement et la minutie qu'il emploie pour y parvenir contrebalance son côté impulsif, ainsi, il peut plus facilement berner les pauvres femmes qu'il détruira par la suite.

1. LORS D'UN AVENTUREUX VOYAGE AU CŒUR D'UN ENDROIT DÉSERT A LA TOMBÉE DE LA NUIT, TU CROISES LE CHEMIN D'UN CHASSEUR, QUE FAIS-TU ? Dans le fond, tout dépendra de son humeur. Bien évidemment, Absalom n'approuves pas les chasseurs, qui sont ses ennemis direct, toutefois, à moins d'être énervé ou d'être attaqué, il y a de forte chance qu'il préfère davantage retourner voir sa proie pour poursuivre son plan plutôt que de perdre du temps à arracher la tête d'un chasseur. Il aime trop la torture psychologique pour perdre du temps dans un massacre laissant des traces d'hémoglobine partout.
2. UN CAMARADE PLEIN DE BONNES VOLONTÉS VOLE A TON SECOURS, TU SAIS QUE TU LUI EN ES REDEVABLE ET TU N'AIMES PAS ÇA, QUE FAIS-TU ? Le grand solitaire qu'est Absalom ne se sentira qu'à moitié redevable envers ce "camarade" jugeant qu'il n'avait pas demandé d'aide, il n'est en rien responsable de la mise en danger de son sauveur et n'a donc, pas conséquent, aucune réelle dette envers celui-ci. Ce mode de penser lui évite ainsi de devoir rendre des petits services à des "camarades" dont ils se fichent éperdument.
3. TU DÉCOUVRES QUE DES DOPPELGANGER ESSAYENT DE METTRE MAIN MISE SUR LA VILLE DE COLLINSTON, QUE FAIS-TU ? Dans le sens ou les Doppelganger ne lui posent, pour l'instant, aucun réel problème, Absalom restera en retrait, se gardant bien d'avoir un avis sur ces copies conformes. Toutefois, le jour ou leurs plans semblera avoir un impact sur ton existence, il ne fait aucun doute que l'élimination de ceux-ci te semblera favorable. De nouvelles femmes à détruire, qui sait ?

⊱ TON OPINION SUR COLLINSTON ? Cette ville ou une autre, il s'en fiche bien au final. S'il est venu ici, c'est simplement parce que, sur sa route, il avait trouvé cette ville intrigante. Mais Collinston, Sacramento, Little Rock, dans le fond, ça lui semble être du pareil au même. Du moment qu'il a des proies à torturer, rien ne le dérange.

DERRIÈRE L’ÉCRAN a écrit:

⊱ TON PSEUDO : senseless loss. ⊱ UN P'TIT PRÉNOM ? Jaelynn (oui, c'est bizarre, je sais). ⊱ TON ÂGE : 20 ans ⊱ OU AS TU TROUVÉ SFTD ? : Bazzart ⊱ TON AVIS DESSUS ? Sublime ⊱ FRÉQUENCE DE CONNEXION : 5 / 6j/7. ⊱ TON DERNIER MOT : Bouh (?)

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❝ BANG BANG, YOU'RE DEAD ❞

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CRÉDITS ; @tumblr
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L'hôte ▬ Ses yeux s'ouvrent, horizon brumeux sur le monde qu'il côtoie dans son hôte. Il se tourne lentement, fixant le reflet dans le miroir fissuré. Les traits d'un homme se décident, son regard sombre reflète une assurance que quelques heures auparavant, il n'avait pas. Il possède désormais un air bien plus séduisant qu'autrefois, nonchalance assurée par les airs que s'offre Absalom. En moins de temps qu'il n'en faut, il possède son hôte dans son entièreté et parvient à donner l'immédiate illusion d'être lui. Assez malin toutefois, il sait qu'il ne peut pas rester ici, auprès de la famille de l'hôte sous peine d'être découvert. Ainsi, au milieu de son bureau en bazar, il laisse une note, méandre d'une existence qui se jette soudainement dans le grand néant. « Je ne peux plus supporter cela. Ma vie m'attends ailleurs.[/color] » Il prend soin d'écrire aussi salement que l'hôte le faisait quand Absalom n'avait pas prit possession de lui et attrapant les clefs de sa voiture, s'en va vers un ailleurs plus glorieux.

La pyromane ▬ Sacramento accueille le monstre qu'il est, tendant les bras à sa monstruosité comme si on l'avait toujours attendu. Il ne tarde pas à croiser sa route. Douce femme dont les airs de poupée brisée happe son désir de la tourmenter. La cible est verrouillée et il semble alors évident qu'il va pouvoir se délecter de sa souffrance, aussi bien celle qu'elle supporte déjà que celle qu'il lui infligera sous peu. Elle se laisse approcher, brebis galeuse, naïve et détruire, Absalom est un soutien, une main bienveillante qui l'aide à se remettre de la catastrophe qu'elle a commise. Elle lui raconte ces déboires, cette maison qui brûle avec son mari au-dedans. Elle lui explique à quel point elle s'est délecté des flammes qui léchaient les murs et emprisonnait son homme. A quel point elle était apaisée de la savoir à jamais dans la maison où ils s'étaient passionnément aimés, demeurant assoupis sur les cendres des poutres de bois. Sans doute était-elle folle. Peut-être seulement dévastée. Mais elle ne connaissait alors rien de la douleur qu'il allait lui infliger. Lentement, Absalom s'insinue dans sa vie comme un venin qui agit doucement. Brûlant ces veines, incendiant ces entrailles. Elle possédait l'étincelle de folie qui allumait le feu de sadisme en lui. Douce femme qui lentement se brise, qui se recroqueville dans entre les quatre murs ternes de sa chambre sans vie, tremblante et déboussolée, qui ne sait plus si cet homme qui semblait bienveillant lui veut aujourd'hui du bien, ou du mal. Pourtant, elle s'accroche, espérant vainement qu'il lui apportera l'attention qu'elle requiert depuis si longtemps, priant pour qu'une affinité naisse de cette destruction qu'elle subit en silence. Absalom était proche du but, il était à deux doigts de la voir s'effondrer sur le poids de cette torture psychologique, il se délectait d'avance de son corps si frêle qu'il s'échouerait à ses pieds, le désespoir la noyant soudainement. Etrangement, il n'en fut rien. Douce poupée qui manque de mourir, elle semble pourtant voir en l'homme qu'elle côtoyait le monstre qu'il est réellement. Elle s'enfuie, emmenant avec elle la certitude qu'Absalom avait autrefois d'anéantir toutes ses proies sans exception. Attisant par la même occasion la rage du démon.

Collinston ▬ L'ombre oppressante de son échec en tête, Absalom s'engage sur cette route maudite dont il a l'envie folle d'en connaître le bout. Avide d'une nouvelle proie qu'il détruira avec encore plus de cruauté que les autres, se jurant de ne plus jamais se laisser avoir par une simple humaine qui plus est fragile. Son visage l'obsède, il ne saisit pas son erreur, ne comprend pas à quel moment il a échoué dans sa façon de faire. Il avait suivi ce cheminement qui en avait détruit bien d'autres avant elle. Pourtant, il avait échoué. Echec. Le mot résonne dans son esprit, incendiant ses pensées, ravivant davantage encore sa cruauté. Sa voiture se gare sur le bas côté. Collinston et ces femmes si naïves n'attendent que lui. Spectre démoniaque au milieu de cette flaque de surnaturelle, il pense se fondre dans la masse. Il agit sans nul doute bien plus normalement que la plupart de ces compères et c'est donc serein qu'il s'engage dans la quête d'une nouvelle proie.

« [i]Ainsi, vicelard sur son tabouret, il scrute la douce créature féminine dont les regards langoureux lance le début de son nouveau jeu. La prochaine à subir les aléas de son funeste courroux. Il happe son regard de biche, saisissant son esprit qui n’attend de faire sa connaissance et la nouvelle cible est choisie. La partie recommence.