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spencer worsley

❝ SUIS TON CŒUR AUSSI LONGTEMPS QUE TU VIS. ❞

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FT. AMANDA SEYFRIED ∞ APPOINTMENT IN SAMARRA
CRÉDITS ; @fuck yeah amanda seyfried

⊱ NOM : Worsley. ⊱ PRÉNOM(S) : Spencer. ⊱ ÂGE : Vingt-six ans. ⊱ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 03/05/1986 à San Francisco. ⊱ EMPLOI : Serveuse dans un café. ⊱ OCCUPATIONS : Le chant, la guitare. ⊱ TRAITS DE CARACTÈRE : Honnête, généreuse, sensible, courageuse, intrépide, gourmande, déterminée, intelligente, indépendante, impulsive, joie de vivre, imprudente. ⊱ SES FORCES : Son honnêteté, quand il s'agit de dire la vérité, elle met carte sur table et n'hésite pas à faire des malhereux/ses. ⊱ SES FAIBLESSES : A tendance à faire ce qui lui passe par la tête, elle fait des choses insensées, ce qui parfois la mets dans des situations étranges voire irréparables.

~ Lorsqu'elle est triste, elle a pour habitude d'aller s'acheter un pot de glace et de s'empiffrer devant la télévision, comme une fleur bleue. Elle fait passer sa tristesse dans la gourmandise. Elle fait de son possible pour changer d'habitude, mais parfois c'est trop fort.
~ Chanter, composer des textes ou jouer de son instrument lui permets d'échapper au quotidien. Son plaisir personnelle.
~ Lorsqu'elle ne sait pas trop quoi faire, elle aime faire de longues balades dans la forêt, c'est également une source d'inspirations de passer du temps là-bas.
~ Elle ne sait absolument rien du surnaturel.
~ Elle se ronge les oncles, par des moments de stresses.
~ Spencer adore cuisiner, pourtant, elle cuisine très mal et au résultat ça a tendance à l'énerver. Ce n'est pas pour autant qu'elle baisse les bras. C'est une passion. Elle apprend à progresser. Même si ça lui est arrivé de mettre le feu à sa casinière.

1. LORS D'UN AVENTUREUX VOYAGE AU CŒUR D'UN ENDROIT DÉSERT A LA TOMBÉE DE LA NUIT, TU CROISES LE CHEMIN D'UN DÉMON, QUE FAIS-TU ? Bonne question, je fais comme dans le film raiponce, je l'assomme avec ma poêle. Faudrait-il encore, que j'en ai une. De toute manière, c'est impossible, ça n'existe pas. .
2. UN ANGE PLEIN DE BONNES VOLONTÉS VIENT TE PROPOSER TON AIDE, MAIS INDIQUE QU'IL DEVRA POUR CELA SACRIFIER QUINZE PERSONNES, QUE FAIS-TU ? C'est un peu farfelu ces questions. La chose la plus raisonnable,je refuse, pour ne serait-ce quelle raison. Il y a toujours un moyen de se débrouiller sans.
3. TU DÉCOUVRES QU'UN DIABOLIQUE DOPPELGANGER A PRIS LA PLACE DU DÉSORMAIS CÉLÈBRE DEVON CARVERS, QUE FAIS-TU ? Je l'assomme ? En même temps si j'assomme tout le monde sous prétexte, qu'il est soupçonneux, je risque d'en envoyer plusieurs à l'hôpital.

⊱ TON OPINION SUR COLLINSTON ? *Mange une pomme et remarque qu'on lui pose une nouvelle fois une question* Bon ça suffit maintenant ! Que dois-je faire pour qu'on me foute la paix ? Ah répondre ? ... Bon ... ce que je pense de la ville. Bien elle est belle. Bon d'accord je suis pas douée pour répondre aux questions. Je sais pas vraiment si c'est hors sujet mais, les pommes de Collinstone sont humm .. délicieuses, c'est un point positif ? Non ?

DERRIÈRE L’ÉCRAN a écrit:

⊱ TON PSEUDO : Isobel. ⊱ UN P'TIT PRÉNOM ? Non, c'est trop personnel voyons . ⊱ TON ÂGE : Petit curieux Seize ans. ⊱ OU AS TU TROUVÉ SFTD ? : Je ne sais plus trop, mais je ne regrette pas d'être tombé ici. ⊱ TON AVIS DESSUS ? J'attends ça depuis un long moment, je suis heureuse qu'il ré-ouvre. ⊱ FRÉQUENCE DE CONNEXION : 7j/7, sauf quand je serais interne 2/7. ⊱ TON DERNIER MOT : Et aussi, je pars en stage durant dix jours, sans le net, donc je serais absente .

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❝ L'obscurité n'est pas toujours synonyme de mal, tout comme la lumière n'apporte pas toujours le bien. ❞

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CRÉDITS ; @tumblr
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Le changement. Le changement, voilà, ce qu'avait vécue la petite blonde du haut de ses dix ans. Elle changeait de vie à n'importe quel moment. Elle pouvait vivre un mois dans une ville tranquille, mais partir d'un instant à l'autre à cause du boulot de son père. Impossible de stabiliser une relation, lorsqu'on bouge sans arrêt. Au début, elle avait essayé de se faire des amis, mais au fur et à mesure du temps, elle avait préféré lâcher l'affaire, sachant que ce serait trop difficile à chaque fois. Combien de fois, elle regrettait de partir, combien de fois elle aurait aimé être avec sa mère, pour avoir une vie paisible, combien de fois elle avait tenté de le dire à son père, mais ravalant sa salive au dernier moment. La situation ne s'arrangeait pas lorsqu'elle avait grandi. En cette belle soirée, spencer avait décidé de prendre son courage à deux mains et de tout avouer à son père, sur son désir de rester au même endroit, de se faire des amis et envisageait la possibilité d'avoir un petit ami potentiel, ne serait-ce qu'une fois dans sa jeunesse, qui partait en fumée à petit feu. Isaac Worlsey, archéologue, avait constamment besoin de changer de terrain, son travail lui en obligé. Celui-ci, assis sur sa chaise, face à ses papiers, ne savait plus où donner la tête. Spencer se tenait à l'encadrement de la porte et toqua deux fois, pour lui faire savoir qu'elle était présente. L'homme d'une quarantaine d'années, souriait machinalement, en voyant sa fille à l'entrée. Il la considérait comme son bijou, son trésor, cette chose fragile que Spencer détestait. Elle ne se sentait pas vulnérable. Cependant, c'était le cas. C'était une petite fleur fragile, dès le premier coup de vent, les pétales ne résisteraient pas et s'envoleraient d'un méli-mélo. La blondinette s'avançait à pas lent, en scrutant un peu les alentours. Elle n'avait pas pour habitude d'entrée dans le bureau de l'homme. De toute manière, elle n'en retenait rien, car elle savait pertinemment, que ça ne serait pas pour une longue durée. Elle attacha son regard au sien. Qu'est-ce qui t'arrive ma grande ? Dit-il en portant toute son attention sur sa fille. Ce qui était rare. C'était sans compter sur ça, qu'elle abandonnait à chaque fois, de mettre ce sujet sur le tapis. Mais cette fois-ci, c'était la bonne, il fallait qu'elle en profite. Il faut que je te parle... tu sais, depuis petite j'évite au maximum de te déranger dans tes affaires, mais il est temps, que tu fasses un effort. Je sais que ton travail passe avant tout le reste, mais ne serait-ce qu'une fois, ne pourrais-tu pas me faire passer avant tous ses fossiles, ses piles de dossiers et de tes élèves ? Je vais être franche et assez brute, certes, mais il a bien trop longtemps, que je ne digère plus ça. Tu sais combien sait horrible de devoir quitter son habitat pour en rejoindre un autre, sans avoir eu d'amis à qui dire au revoir ? Sans avoir laissé ses marques, ne serait-ce qu'une empreinte ? J'aimerais me construire une vie, avoir un cursus scolaire stable, une demeure à laquelle on s'attache. Papa, te rends tu comptes que ma vie sociale est tellement petite, qu'elle pourrait entrer dans un dès à coudre ? Et encore...Pour une fois, passent les vœux de ta fille en premier, je ne te demande que ça. Rester dans la même ville. C'est tout. Son père ne s'attendait pas à ce qu'elle soit si triste et si franche, car pour être honnête, il n'avait pas l'habitude qu'elle se confie, renferment ses moindres pensées, sans qu'une n'ait le moyen d'être divulgué. Soudainement, une vague de culpabilité l'envahit, voir le piquer légèrement. Il racla sa gorge. C'était inattendu et elle lui avait bouclé le bec, malheureusement, il devait répondre, face aux attentes de sa fille. Je...Spencer, je risque de te décevoir, je sais combien cela te chagrine, mais l'argent ne vient pas tout seul et je suis bon qu'en ça.... je ne peux malheureusement pas, je suis navré. Spencer levait les yeux en l' air, essayent de ravaler sa rage et ses larmes. Elle baissa la tête, ne voulant pas revoir son père. Pas maintenant, pas de suite, du moins jusqu'à ce qu'une idée lui traverse la tête. Comment pouvait-il être si injuste à son égard. Elle, qui l'avait suivi à ses moindres pas, qui l'avait soutenu dans ses travaux, même si elle ne savait pas vraiment le vif du sujet, celle qui l'avait épargné de ce discours de nombreuses années. Comment ne pouvait-il pas faire ne serait-ce cet effort pour sa fille. Elle avait ressenti, comme un couteau dans sa poitrine. Comme ci, on voulait lui arracher, après avoir tracé le contour sur sa peau. Jusqu'à cette question. Son père l'aimait-il vraiment ? Cette question lui tournait dans l'esprit un bon moment . Après tout, il n'avait fait aucun sacrifice pour elle. Décidant à nouveau de l'affronter, elle le regardait droit dans les yeux. Son regard triste à la fois et remplit de rage. Comment peux-tu...tu sais quoi ? j'aurais mieux fait de me taire, bien que ma vision des choses à complètement changer. Je peux au moins te remercier pour quelque chose. Tu m'as ouvert les yeux, merci. Je t'en saurais toujours reconnaissante. Elle le fixait rapidement dans les yeux et se leva. Avant de quitter définitivement la pièce, elle tourna sur ses talons. Si tu ne peux pas m'offrir ce bonheur, tant pis, je me débrouillerais seule, après tout, je l'ai toujours fait. Puis elle déserta définitivement la pièce, sans placer un autre mot. Son père, l'ayant regardé jusqu'au bout, se sentait coupable et pourtant, il n'avait rien fait pour la retenir. Une erreur impardonnable.


L'expression a des frontières, la pensée n'en a pas.

Le chapitre commencera également avec le changement. En effet, après avoir quitté le bureau de son père, Spencer s'est empressé de faire ses affaires et de partir. Elle ne savait pas où elle allait, elle se laissait seulement guider par ses pieds. C'était peut-être bien la première fois, qu'elle contemplait réellement la ville. Déterminait, elle a fini par trouver sa route. Sa mère l'avait abandonné lorsqu'elle avait six ans. Son père, n'avait jamais voulu reparler de cette journée-là. Elle n'avait pas cherché à comprendre, même si, à son âge elle se posait beaucoup de questions. Elle était partie avec seulement quelques billets, elle avait trouvé un hôtel, loin de cette ville, pour pas que son père la retrouve, même si pour lui, c'était du gâteau. mais, il trop préoccupé, il ne ferait même pas cet effort. La chambre était piteuse, mais c'était la seule qu'elle pût s'offrir. Ils n'étaient pas riches, mais ont tout de même eu les moyens pour manger. Elle recevait peu d'argent de poche et avait fait de son mieux pour rassembler ce qu'elle pouvait. Après s'être inscrite dans un lycée, elle chercha un boulot à mi-temps pour payer ses études et sa chambre. Les temps devenaient difficiles et elle avait réussi à s'en tirer. Après cette affaire, plusieurs mois s'étaient écoulés. Elle avait tiré un avantage, elle s'était fait des amis et avait trouvé son premier amour, qui allait s'achever en cette fin d'après-midi.

Alors qu'ils marchaient tranquillement dans le parc, Alex s'arrêta et lui prit les mains. Ils s'étaient rencontrés banalement dans un pique-nique organiser par une amie proche de Spencer. Celle-ci lui était devenue une grande aide après la dispute qui avait éclaté entre elle est son père. Lorsque Alex, à posait son regard sur elle, il l'a tout de suite trouvé à son goût. Il a invité à boire un verre, pour paraître polis, la jeune femme a accepté. Seulement, il a eu des propos déplacés, sur des sujets trop sensibles pour elle. Après tout, il est jeune et il voulait seulement passer la nuit avec cette belle blonde, malheureusement, elle connaissait trop bien ce genre de types pour aller plus loin. Puis les temps ont changé et ils se sont recroisés dans un parc animalier, là où elle était responsable de la cage aux lions. Il semblait avoir changé et lorsqu'il l'a convié à un dîner, elle lui a laissé une seconde chance. Certaines choses lui avaient ouvert les yeux et entre temps, il voulait se rattraper avec elle, car il savait qu'elle était spéciale . Quelque-chose que les autres n'avaient pas. Est-ce seulement pour l'argent que tu es avec moi ? Ça l'avait frappé d'un coup de fouet. C'était un amour sincère qu'elle portait à son égard et il osait douter de celui-ci pour une affaire d'argent ? Certes, elle était fauchée comme le blé et n'avait nul l'intention de se servir de lui, pour lui payer quelque-chose. C'était pourtant clair, lorsqu'il lui offrait un cadeau, elle déclinait toujours, se sentant laminer par la honte. Elle n'avait pas les moyens de lui offrir de petits plaisirs et lui offrait simplement des sentiments honnêtes, la seule chose qu'elle pouvait se permettre, mais c'était bien fort qu'une chaîne, un collier ou une boîte de chocolat. Alors c'est comme ça que tu me vois . Comme une gratteuse d'or ? Je n'aurais pas de suite les moyens pour pouvoir t'acheter une voiture, voir une moto, ou encore même une console ! Mais, ce n'est pas parce que je n'ai presque rien en poche, qu'il faut croire que je cherche à te berner par de faux sentiments, en cherchant à te ruiner ! Pour qui me prends-tu ?! À croire que tu ne me connais pas ! Entre, lui et ses parents, elle n'avait vraiment pas de chance. Spencer reprit son souffle et continua. Je n'arrive pas à croire que tu es osé penser, que j'étais capable de te faire ça...nous sommes ensemble depuis si longtemps et tu avais cette image dans ta tête ? Tu sais quoi...je vais éviter de "ruiner" ton temps un peu plus. C'est fini. je ne veux plus avoir affaire à toi ! Elle s'était écartée de lui, depuis qu'il avait répliqué. C'était l'une des décisions des plus difficiles, jusqu'à présent. Elle comptait construire une vie avec lui, avoir plein d'enfants, se marier et vivre heureux. Cependant, il ne faut pas se voilait la face, ça n'existe que dans les contes de fées. Elle tourna légèrement la tête et n'osait même plus le regarder. Elle s'en alla, sans dire un autre mot, alors que lui tenta de la rattraper, mais ce fut trop tard.


Tous ces moments se perdront dans l'oubli, comme des larmes dans la pluie.

Les débuts, comme les fins vont sûrement vous paraître répétitives, mais ce chapitre va se clôturer, avec un mystère, car à la fin, une nouvelle route se présentera à elle et il faudra suivre son aventure dans une autre ville. Ça faisait un bon nombre de semaines, qu'elle avait mit fin à leur relation et pourtant elle se sentait terriblement mal. Seulement, comment avait-il pu avoir cette image... la scène lui était apparue en boucle dans son esprit. Tout rappelait ces bons moments, le café, le parc, même la station d'essence. C'était son premier amour, celle avec qui elle avait partagé, joie, pleure, inquiétudes, instants de bonheurs. Elle avait passé tant de fois à admirer la belle couleur vert de ses yeux, à passer ses mains sur ses cheveux, à discuter de plusieurs projets et une simple question avait éclaté tous ces instants magiques. Elle en était pas la seule responsable. Elle se remettait peu à peu de la situation, elle était prête à sortit, mais pas à aimer tout de suite. C'était bien trop tôt pour le remplaçait. Ce que lui n'avait pas trouvé. Une semaine plus tard il s'était avec quelqu'un d'autre et faut dire, elle ressemblait à un pot de peinture. Brune, grande de taille et forte poitrine. Vous voyez, le genre de clichés, le genre de relation qui n'a pas l'étincelle d'un avenir. Rien hors mis une seule porte. D'accord...Spencer était en pétard contre lui, seulement, il n'avait plus de comptes à régler avec elle. Il était libre de ses choix.

Spencer a dû abandonner ses études, qui devenaient trop coûteuses, sa chambre d'hôtel, lui était d'un étouffement. Vivre dans une seule pièce, ce n'est pas évident. La ville lui était étouffante après plusieurs années. Enfaîte, tout ce qu'elle avait construit était partie en fumée, rien ne la retenait. Sa patronne était irrespectueuse et croiser à chaque fois son ex était agaçant. Elle qui avait fuguait pour avoir une vie paisible, stable, elle avait eu tort. Du moins, elle a eu droit à ça, quelques années. Après avoir fait plusieurs recherches, elle trouva, une ville sympathique, petite, mais loin de toutes ses conneries. Elle déménageait aussitôt et loua un appartement. Enfin un endroit où on peut véritablement déballer ses cartons. Elle a également trouvé un bon boulot, en tant que serveuse dans un café, avec des collègues amusants et sympathiques . Une belle vie qui s'ouvre à elle ? Un futur amour ? Ou une future guerre ? Car, des choses pas net se trament là-dedans.