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Tyler Matthew Daniels

❝ LE COMBLE DU CHASSEUR, C'EST IGNORER QU'IL PUISSE CREVER UN JOUR. ❞

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FT. HENRY CAVILL ∞ THE REAL GHOSTBUSTERS
CRÉDITS ; @tumblr

⊱ NOM : Daniels. ⊱ PRÉNOM(S) : Tyler, Matthew. ⊱ ÂGE : 28 ans. ⊱ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 11 août 1981 à Vancouver (Canada). ⊱ EMPLOI : Armurier. ⊱ OCCUPATIONS : Chasseur. ⊱ TRAITS DE CARACTÈRE : Combatif, Intelligent, Rusé, Observateur, Minutieux, Rancunier, Tactile, Jaloux, Possessif, Cynique, Protecteur, Maniaque, Courageux, Râleur, Borné, Taquin, Bon comédien, Intransigeant, ... ⊱ SES FORCES : Sa combativité et son intelligence rusée. Plus acharné qu'un Pitbull, il ne lâchera pas le morceau et analysera méticuleusement chaque situation, en repérant rapidement les sorties et les possibilités. Et bien sûr, ses connaissances du surnaturel. ⊱ SES FAIBLESSES : Ses sentiments vis-à-vis des personnes auxquelles il tient. Par exemple, pour sa petite sœur, il serait capable de se sacrifier à sa place si cela pouvait la sauver ou lui donner une chance de survivre.

~ Ty est du genre à recueillir les "animaux égarés" comme il les appelle ; des personnes paumées ou perdues. Au début c'était sa sœur qui l'y poussait. Maintenant il le fait de lui-même, même si d'un côté ça l'emmerde bien d'avoir un petit cœur en marshmallow à ce sujet.
~ Il fait de l’exercice et de la musculation tous les jours lorsqu'il n'est pas en chasse.
~ Il a une clé USB sur laquelle il stocke toutes ses informations sur le monde du surnaturel, même s'il a tout sur version papiers dans un garde-meuble sous un faux nom qu'il n'utilise que pour ça.
~ Il est du genre à disparaître au petit matin quand il couche avec une fille. Il a déjà bien assez à faire avec sa sœur. Inutile de s'encombrer d'une autre faiblesse à son sens.
~ Son grand-père et son oncle étaient des chasseurs, il ne l'a découvert qu'après la mort de ses propres parents qui avaient servi de cibles à une vengeance.
~ Il s'est fait tatouer plusieurs protections à même le corps.
~ Il a passé deux ans en hôpital psychiatrique après la mort de ses parents, pour avoir affirmé avoir vu des monstres, et s'être muré dans le silence.
~ A sa sortie, il est venu s'installer à Collinston, ville où son oncle avait une maison. Il y a passé son adolescence, avant de s'engager dans l'armée.
~ Il a fait un CAP armurerie (2 ans), suivi d'un BMA armurerie (2 ans) dans la ville la plus proche de Collinston, rentrant tous les week-ends.
~ Il a fait 3 ans à l'armée, avant de tout plaquer à la mort de son oncle, pour rentrer prendre soin de sa petite sœur.
~ Il a fait plusieurs chasses avec Remy qui était un ami à lui, et parfois Louisa. Il a des doutes sur la mort accidentelle (incendie) de ce premier. Il compte garder un œil sur elle, sait-on jamais.


1. LORS D'UN AVENTUREUX VOYAGE AU CŒUR D'UN ENDROIT DÉSERT A LA TOMBÉE DE LA NUIT, TU CROISES LE CHEMIN D'UN DÉMON, QUE FAIS-TU ?
Je le combats et je finis par tenter de l'immobiliser pour l'exorciser. Mais si je me trouve dans un endroit désert comme vous dites, c'est que je cherchais déjà quelque chose. Je ne vais pas me perdre sans raison en plein milieu de la nuit, faut arrêter de croire au père noël. Et comme je suis assez prévoyant, j'ai toujours une partie de mon matériel dans un double fond de mon coffre de voiture.

2. UN ANGE PLEIN DE BONNES VOLONTÉS VIENT TE PROPOSER TON AIDE, MAIS INDIQUE QU'IL DEVRA POUR CELA SACRIFIER QUINZE PERSONNES, QUE FAIS-TU ?
Je lui demande s'il se fout de ma gueule. Parce que je fais pas dans le sacrifice de masse, si je voulais vraiment donner là-dedans, je serais gourou et je promettrais la vie éternelle à mes fidèles. Autant les blouser jusqu'au bout, plutôt que de les sacrifier à un ange trop imbu de sa petite personne pour réaliser la propre connerie de sa proposition.

3. TU DÉCOUVRES QU'UN DIABOLIQUE DOPPELGANGER A PRIS LA PLACE DU DÉSORMAIS CÉLÈBRE DEVON CARVERS, QUE FAIS-TU ?
Avant tout, je vérifie que ce n'est pas mon imagination qui me joue des tours. Ensuite, je m'arrange pour connaître toutes les armes et les possibilités vraiment efficaces contre ce genre de créature. Et pour finir, je le file, pour apprendre son emploi du temps, voir quand est-ce qu'il serait le plus vulnérable. Avant d'attaquer pour l'éliminer.

⊱ TON OPINION SUR COLLINSTON ?
Collinston ?On y a une maison avec Lynn, ici, celle de mon oncle. Enfin, anciennement celle de mon oncle. On y a vécu quand je suis sorti de l'hôpital. Une jolie petite ville avec un temps de chien propre à la Louisiane, mais en pire. Enfin, on y a gardé la maison, cela nous servait de pied à terre. Mais avec la résurrection miraculeuse de Devon Carvers, on a décidé d'y rester un moment, le temps de découvrir ce qu'il se passe en ville. C'est le moment de retrouver des voisins et d'anciennes relations, connaissances. Après tout, c'est ici que j'ai passé mon adolescence avant de m'engager dans l'armée, et en dehors des parties de chasse avec mon oncle. J'aime cette ville autant qu'elle me sort par les trous de nez. Mais aujourd'hui... je ne saurais pas dire pourquoi, mais je la trouve... différente.

DERRIÈRE L’ÉCRAN a écrit:

⊱ TON PSEUDO : Lsi. ⊱ UN P'TIT PRÉNOM ? Miam selon une Meguinouche (a) . ⊱ TON ÂGE : j'ai arrêté de compter après 18 ans x) ⊱ OU AS TU TROUVÉ SFTD ? : Grâce à Meguinouche. ⊱ TON AVIS DESSUS ? Toujours aussi génial ! ⊱ FRÉQUENCE DE CONNEXION : 4j/7. ⊱ TON DERNIER MOT : Vivement qu'on s'amuuuuuuuuuse *_* Et on pourrait me réserver Henry Cavill s'il vous plaît ?

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❝ LA CULPABILITÉ C'EST COMME LA GANGRÈNE, SAUF QU'ELLE PEUT VOUS DONNER UN COUP DE PIED AU CUL ET VOUS POUSSER PLUS LOIN. ❞

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CRÉDITS ; @tumblr
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6 ans.

« 911 j’écoute ?
- Y a des monstres dans ma maison. » chuchota le petit garçon recroquevillé dans la cave, une petite fille de deux ans dans ses bras.
« Est-ce que tu peux répéter mon petit ?
- … » ouvrit-il la bouche, mais un hurlement englouti les paroles qu’il s’apprêtait à prononcer.

Un hurlement d’horreur, d’une terreur infinie à vous glacer le sang. Les actrices elles-mêmes étaient incapables de retranscrire une telle douleur, une telle abomination en un seul son. Lâchant subitement le téléphone, Tyler se concentra sur la petite princesse entre ses bras, lui chuchotant quelques paroles de réconforts, tandis qu’il plaquait sa petite main sur ses lèvres pour qu’elle ne dise rien. Dissimulés dans l’ombre, ils ne pouvaient plus entendre ce qu’il se disait à l’autre bout du combiné téléphonique. Mais il savait que si ce qui se trouvait au-dessus les entendait, eux aussi hurleraient comme ça.

« Chuuuuu, Chuuu… Ca va aller. Je te le promets. Je te laisserai pas. La police va venir. Elle va nous sauver. » murmurait-il avec cette crédulité dans la voix, celle qui vous assure que le monde est aussi rose qu’une glace malabar. Que ce cri, qu’ils venaient d’entendre, ne voulait pas dire que leur mère était morte ou qu’elle aurait donné n’importe quoi pour l’être. Pendant que des voisins s’éveillaient, appelaient la police également. Le quartier frôlait l’hystérie, sous la folie passagère de quelques hommes en slip et un fusil dans les mains qui se ruaient dans la rue à la recherche du lieu d’où provenait les cris, quand les femmes relevaient leurs rideaux tout en se dissimulant sur le côté. La toile de leur petite vie dégoulinait d'une peinture défraîchie. Rien n'arrivait jamais par ici. Rien. Jamais. Des mots qui n'avaient déjà plus aucune signification pour le petit garçon qui sentait sa respiration mourir sous l'écho des pas juste au-dessus de sa tête. Des pas de course. Les monstres partaient ? Vraiment ? Il ne voulait pas y croire. Il ne voulait plus bouger. Rester ici et ne pas affronter la vérité qui se trouvait à quelques mètres à peine, enveloppée de la rougeur d'un fluide gaspillé, qui s'imprégnait lentement dans le bois.


Hôpital Psychiatrique, partie pédiatrie. Extrait du journal de Tyler.

Le plafond était blanc, totalement imberbe de la moindre réalité poisseuse. Pourtant il m’arrivait encore de me réveiller en pleine nuit, et d’ouvrir les yeux sur un plafond clairsemé de gouttelettes pourpres, que quelques battements de cils faisaient finalement disparaître. Les médecins disaient que c’était normal, des souvenirs résiduels de cette fameuse nuit où mes parents étaient morts. Je me souvenais comme dans un rêve d’être sorti en tenant la main de Lynn, la guidant à travers le silence des flics trop malades pour remarquer la présence de deux gamins. Visiblement, le spectacle était assez horrible pour qu’ils en oublient d’être attentif. Mes lèvres avaient bougé, demandé à ma petite sœur de m’attendre au bout du couloir, tandis que j’avançais, mes pieds nus s’enfonçant dans la moquette imbibée de sang, qui faisait un bruit de succion à chaque fois que j’en soulevais un, pour faire un pas de plus. Je savais ce qui me collait à la peau, ce qui commençait à remonter le tissu du bas de mon pyjama, mais mon esprit avait refusé d’analyser l’information. De même qu’il n’avait pas voulu identifier les morceaux de viande qui traînaient sur le sol comme les corps mutilés de mes parents, ou même cette nouvelle peinture rougeâtre qui s’étirait maladroitement sur les murs et le plafond. Des petits points comme des étoiles sanglantes qui se miraient dans mes yeux éteints. J’avais alors, ce que le docteur m’a dit, demandé si les monstres étaient partis. Ils ne m’avaient pas cru et je m’étais muré dans le silence. Ce même silence qui m’avait fait placer dans ce centre… cet asile pour gamins. Un hôpital où on sait que vous avez un problème et où on est payé pour tenter de réparer ce qui a été brisé dans votre cerveau, avant que vous viriez schizo.

Ca faisait deux ans qu’on m’y avait mis. J’avais huit ans maintenant, et je crois qu’à traîner avec des psys, j’avais attrapé quelques unes de leurs réflexions. Je savais aussi ce qu’ils voulaient entendre, à force. Et grâce aux livres que mon oncle me transmettait, je savais que je n’avais pas rêvé, et que quelqu’un me croyait. Même qu’un jour, il avait juste écrit : c’est réglé. En face des créatures que j’avais reconnues. Selon les médecins, lire des histoires de folklores m’aiderait à faire la part entre la réalité et l’imaginaire. J’avais vu des monstres pour ne pas reconnaître des personnes de notre entourage, voyons. Je l’avais admis, pour leur faire plaisir, et surtout sortir d’ici, aller vivre avec mon oncle et ma petite sœur qu’il avait prise avec lui, dans une vieille maison du côté de la Nouvelle Orléans, où il avait même une gouvernante pour les fois où il devait s’absenter.

Les médecins étaient contents… j’étais guéri selon eux. Je sortais demain. Un coup d’œil à la montre et je pouvais vous affirmer que je sortais dans quelques heures. Quelques heures encore à fixer ce mur blanc qui me lorgnait comme une bête curieuse. Un sourire et… j’apprendrai à régler moi aussi, comme mon oncle.

21 ans.

« C’est MAINTENANT que tu rentres ?! MAINTENANT que c’est trop TARD !! » hurlait la jeune fille, interrompant l’office de leur oncle sans le moindre remord. Presque hystérique, lorsqu’elle avait vu apparaître Tyler, elle s’était précipitée vers lui et s’était mise à frapper son torse, alors qu’il était encore en uniforme de l’armée. Elle ne remarquait pas la fatigue marquant les traits du militaire, la raideur de son pas… Rentrer d’Irak n’avait pas été une mince affaire pour assister à temps aux obsèques. Mais ce que lui reprochait Lynn, c’était d’avoir fichu le camp dans un autre combat, pour d’autres personnes, en laissant sa famille seule avec la guerre qui était la leur depuis tellement d’années. Mais il n’avait pas besoin d’elle pour se sentir coupable de les avoir abandonné. Il n’avait pas besoin de ce qu’elle disait pour savoir qu’il ne rempilerait pas. Qu’il demanderait à tout quitter pour s’occuper d’elle justement, cette adolescente de dix-sept ans qu’il se souvenait avoir serré contre lui la nuit où ses parents étaient morts. Une autre valise de culpabilité qu’il se trainait… Il aurait sûrement pu faire quelque chose d’autre. Sûrement.

Mais il avait eu ce besoin de quitter tout ça, de disparaître, et l’armée avait toujours besoin de bons armuriers, plus précisément sur le terrain, quand la situation était un vrai terrain de mines prêt à exploser. Tyler avait déjà depuis longtemps appris que désobéir à un ordre pouvait vous coûter la vie. Mais pourtant, c’était ce qu’il avait fait en s’engageant, contre l’avis de son oncle. Son grand-père était mort d’une attaque, chose surprenante dans le travail qu’ils exerçaient sur leur temps libre, mais c’était arrivé. Et il avait eu besoin d’une bouffée d’air frais. S’énervant en disant qu’il y avait autre chose dans la vie que la chasse. Que l’on pouvait aider le monde d’une toute autre manière. Les mots avaient gravi l’Everest de la rancœur et des choses que l’on regrette, surtout quand on n’avait pu se reparler avant la mort de l’un des deux êtres. Car si Tyler n’avait jamais perdu contact avec sa sœur, il s’était montré suffisamment teigneux et fier pour ne pas demander pardon, tout comme son oncle. Et aujourd’hui… c’était trop tard.

28 ans.

Cela faisait à peine quelques heures qu’il était de retour à Collinston, mais il avait laissé Lynn seule se débrouiller avec la maison, tandis que lui prenait le chemin du cimetière. Il était resté en Amérique après l’enterrement, déménageant avec sa petite sœur dans une plus grosse ville, mais toujours à la Louisiane, y ouvrant une armurerie avec un associé. Armurerie qui marchait d’ailleurs toujours, et qu’il abandonnait parfois pour partir à la chasse. Comme aujourd’hui, l’arme à feu et le couteau de chasse à sa ceinture le prouvaient bel et bien, même s’ils n’étaient pas visibles de prime abord, et qu’il avait bien évidemment un port d’arme en règle. Silencieux, il s’était avancé à l’emplacement de la pierre tombale de son oncle. Que pourrait-il lui dire ? Qu’il avait repris le business familial en ce qui concernait la chasse ? Qu’il l’avait avant tout fait pour sa sœur ? Tout cela, il le savait déjà. Tout cela, s’il était vraiment là-haut, il ne manquait pas de ne pas l’entendre de toute façon. Le monde était totalement différent, dans un recoin ou bien dans l’autre.

Des bruits de pas faisant bruisser l’herbe attirèrent mon attention, mais je restais dans cette même position, le regard braqué sur la stèle comme si je n’avais strictement rien entendu, tandis que le parfum de la jeune femme me parvenait. Comme un nuage de senteurs méconnaissables clairsemé d’une petite fragrance qui cherchait à éveiller mon souvenir. Comme un murmure ancestral venu me troubler dans un recueillement qui n’était même pas réel, tant mes muscles étaient tendus, raides. J’avais bien trop l’habitude de devoir faire attention pour que ce ne soit subitement plus le cas. D’autant plus que quelque chose se produisait en ville, et que j’ignorais totalement de quoi il s’agissait. Les miracles ne se produisaient jamais sans raison, plus encore lorsque l’on connaissait ce qu’il y avait derrière la vitre sans teint du surnaturel.

« Le fils prodigue est de retour ? » entendis-je se glisser dans mon dos, mes doigts se refermant sur la main qui avait menacé d’esquisser mon épaule, au même moment où je pivotais. Mais la personne qui se tenait devant moi était loin d’être un monstre, un psychopathe, ou une autre créature, mais un mirage de mon passé que j’avais laissé derrière moi il y avait bien longtemps. « Et puis quoi Ty ? Tu vas m’attacher ? » s’exclama-t-elle avant de m’embrasser sans attendre ma réaction. Ses lèvres venant trouver les miennes, sa langue cherchant la chaleur de la mienne, tandis que mes mains se glissaient derrière sa nuque, s’immisçant même dans son abondante chevelure. Mais les retrouvailles chaleureuses furent de courtes durées, puisque dès qu’elle lâcha mes lèvres, une gifle percuta ma joue avec rudesse et rancœur.

« Sans même un mot ? Tu m’as plaqué pour t’engager après avoir couché avec ma meilleure amie au passage ? Et pas un seul mot !
- Ouais… à moi aussi ça me plaisir de te voir. » maugréais-je en vérifiant que ma joue fonctionnait toujours, avant d’esquisser un sourire entre la moquerie et le charme. C’était à elle de choisir son poison à présent.
« Te fous pas de moi Tyler !
- J’ai l’air de me foutre de toi ? »

Il se moquait d’elle, mais parce qu’elle avait une manière bien à elle de souhaiter la bienvenue. Et il ne savait même pas ce qu’elle était devenue depuis toutes ces années. Il ne l’avait pas vue lors de l’enterrement, il avait supposé qu’elle avait quitté la ville, mais si elle était là aujourd’hui, c’est qu’il devait bien y avoir une raison. Lui avait bien la sienne, mais elle se situait dans une toute autre position qui ne devait sûrement pas la concerner.